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Projet de construction d'une centrale photovoltaïque au sol d'une puissance de 10,3 MWc

Informations générales

Date de lancement : 01/01/1758

Date de clôture : En cours

Résumé : Le projet concerne la construction d'une centrale photovoltaïque au sol d'une puissance de 10,3 MWc, sur une surface de 9 ha sur la commune de Grassac (16380), dans le département de la Charente (16). Le projet s'implante sur une ancienne carrière, inexploitée et remise en état par ROCAMAT (procès verbal de récolement en date du 22 décembre 1999 qui témoigne de la bonne remise en état et de la fin d'exploitation). Le terrain est situé en dehors de tout zonage réglementaire Natura 2000, ZNIEFF et n'est pas concerné par une zone humide. Le projet n'entrainera aucun impact sur les zonages du patrimoine naturel et les espèces associées présents à proximité du site d'implantation du projet.
Concernant les impacts sur la flore et les habitats :
-l'impact du projet sur la flore patrimoniale est jugé faible.
-l'impact du projet sur la destruction d’habitats en phase chantier, sur l’érosion de la végétation par modification des écoulements d’eau et sur la modification des cortèges végétaux en phase exploitation sont considérés comme négligeables. Toutefois, les impacts sur ces habitats seront réévalués par rapport à leurs fonctions d’habitats d’espèces.
Concernant les zones humides :
-le projet n'impactera aucune zone humide.
1) Les impacts sur les insectes :
-les niveaux d’impacts directs sur les individus sont faibles pour le Lucane cerf-volant.
-les niveaux d’impacts concernant la perte d’habitats sont nuls pour plusieurs espèces patrimoniales.
-le niveau d’impact du dérangement des Insectes est négligeable.
2) Pour les amphibiens :
-le niveau d’impact lié à la destruction d’individus est modéré en phase de chantier, et très faible en phase d’exploitation.
-le niveau d’impact relatif à la perte d’habitat pour les Amphibiens est modéré pour les habitats terrestres, et nul pour les habitats de reproduction (mares).
-le niveau d’impact relatif à la rupture de continuités écologiques a un effet en phase de chantier et d’exploitation jugé faible.
-le risque d'impact pollution est uniquement lié à la phase de travaux et représente un niveau très faible.
-le niveau d’impact occasionné par le dérangement des espèces est faible.
3) Pour les reptiles :
-le risque de destruction d’individus est modéré en phase chantier et très faible en phase d’exploitation.
-la perte d’habitats représente un impact modéré compte tenu des surfaces concernées.
-le niveau d’impact du dérangement est faible en phase chantier et négligeable en phase d’exploitation.
4) Pour l'avifaune :
-le niveau d’impact en phase chantier sur la destruction d’individus est modéré en cas de réalisation des travaux sur la végétation en période de reproduction, et faible en dehors de cette période. En phase d’exploitation, le niveau d’impact est très faible.
-le niveau d’impact concernant la perte d’habitat est faible à modéré.
-le niveau d’impact du dérangement est modéré si les travaux sont réalisés en période de reproduction, et faible en dehors de cette période.
5) Pour les mammifères terrestres :
-le niveau d’impact du risque de destruction d’individu est très faible.
-l’impact de la perte d’habitat est considéré comme faible.
-le niveau d’impact du dérangement sur les espèces de Mammifères terrestres est faible.
6) Pour les chiroptères :
-le risque de destruction d’individus est limité à la destruction d’un arbre gîte potentiel. Le niveau de cet impact est modéré.
-le niveau d’impact de la perte d’habitats pour les Chiroptères est modéré, et lié à la phase chantier.
-le niveau de l’impact du dérangement est modéré à faible en fonction de la période de l’année et de l’occupation des gîtes potentiels par les Chiroptères.

Taxon(s) ciblé(s) : faune

Niveau territorial : Non renseigné

Financement : Public

Type(s) de dispositif :

  • Multiples ou autres

Publication(s)

Aucune
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