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Tégénaire des maisons

Eratigena atrica (C.L. Koch, 1843)

  • Arthropoda
  • Arachnida
  • Araneae
  • Agelenidae
4.0 | S. Déjean

Répartition

Recensée
Non concerné
Les statuts de présence départementaux de cette espèce sont en cours
de construction.
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    Statuts nationaux (TAXREF v18.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Indigène
  • Présence certaine
  • Non endémique

Répartition

Carte présence
Recensée
Non concerné
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Description (Source : INPN)

Distribution mondiale

toute l’Europe, Bassin méditerranéen

Caractères distinctifs, espèces

Taille - femelle : 10-14 mm, mâle : 11-16 mm.

C’est une grande espèce aux pattes, sombres, velues et longues, chez le mâle encore plus que chez la femelle. Sa couleur générale est brunâtre avec deux bandes claires sur les côtés du céphalothorax et un abdomen brun à taches claires en séries. La systématique de ce groupe, à l’origine deTegenaria, a été revu récemment et en a été complètement remaniée (regroupement des espèces : atrica, saeva, duellica, nervosa, etgigantea) . Il faudra donc un peu de temps avant de discerner les biologies respectives. On distingue maintenant en France, deux Aterigena, 5 Eratigena et 17 Tegenaria. Eratigena atrica est avec Tegenaria ferruginea une grande espèce que l’on rencontre souvent dans les habitations et qu’il ne faut pas confondre avec une espèce beaucoup plus petite, Tegenaria domestica.

Milieux colonisés

Si l’espèce colonise des milieux naturels : rochers ou troncs au sol, elle est surtout connue de milieux construits par l’homme.

Chasse

L’espèce tisse une toile nappe non collante qui prolonge une retraite tubulaire cachée dans la végétation, dans un trou de mur, derrière un meuble. Les individus se déplacent sur la toile, c’est là qu’ils viennent capturer les proies qui se sont hasardées sur la nappe. Elles sont saisies et consommées dans la retraite.

Développement, cycle

Les femelles adultes sont trouvées toute l’année, plus abondantes de septembre à décembre, les mâles sont présents de août à octobre. Le cycle dure deux ans.

L’araignée effectue ses mues dans sa retraite. Le mâle recherche souvent une femelle immature, vit avec elle jusqu’à sa mue de maturité, puis la féconde ensuite, plusieurs fois. La ponte, de 40 à 60 œufs, n’est déposée dans la retraite qu’au printemps suivant.

A. Canard - Université de Rennes/Service du Patrimoine Naturel, MNHN - 2014

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

France

  • LC
    Préoccupation mineure

    Liste rouge des araignées de France métropolitaine - 2023

Les données diffusées reflètent l’état d’avancement des connaissances partagées et disponibles dans le cadre de la mise en œuvre du SINP. Elles ne sauraient être considérées comme exhaustives. Ces données font l'objet d'un processus de validation. Les données considérées certaines ou probables sont diffusées, ainsi que celles pour lesquelles la méthode n'est pas applicable.

85

données

52

mailles 10x10km

65

communes

44

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Deux-sevres

(79)

1.6%

Vienne

(86)

0.4%

Haute-vienne

(87)

5.1%

Pyrenees-atlantiques

(64)

0.4%

Charente

(16)

0.3%

Charente-maritime

(17)

1.1%

Correze

(19)

1.8%

Creuse

(23)

2.7%

Dordogne

(24)

2.8%

Gironde

(33)

1.7%

Landes

(40)

0.3%

Lot-et-garonne

(47)

1.9%