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Punaise arlequin

Graphosoma italicum (O.F. Müller, 1766)

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Hemiptera
  • Pentatomidae
4.0 | Adrien FROMAGE
Cette fiche espèce est générée automatiquement sur la base d'au moins une donnée de l'espèce partagée dans le SINP. Cette espèce ne bénéficie donc d'aucune consolidation experte concernant les statuts régionaux.

Répartition

Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v17.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Non évalué
  • Non évalué

Répartition

Carte présence
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille : 8,5 – 11 mm
Diagnose :
Punaise avec le scutellum recouvrant l’abdomen et atteignant son extrémité. Corps rouge avec des stries noires épaisses longitudinales, 2 sur la tête, 6 sur le pronotum et 4 sur le scutellum. Bord de l’abdomen (connexivum) alternativement rouge et noir. Pattes globalement noires.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Graphosoma semipunctatum est proche mais facile à distinguer, car cette espèce méditerranéenne a 2 rangées transversales de 4 taches noires sur le pronotum. Le bord de son connexivum est rouge et sa partie interne est noire. Ses pattes sont globalement rouges.

Période d’observation :
Avril à octobre avec le plus grand nombre d’observations en été.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit uniquement de graines d’ombellifères vertes ou mures. On la trouve sur ou sous les ombelles en fleurs ou en fruits dont principalement les angéliques, berces, carottes, cerfeuils, cigües, fenouils, férules, lasers, panais. Elle se cache parfois à l’intérieur des ombelles lorsque celles-ci se replient sur elles-mêmes.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne, absente d’Afrique du Nord. On la trouve jusqu'à 60° de latitude nord en Suède et Finlande. Elle est en expansion récente vers le nord, longtemps absente en Grande-Bretagne, elle y a été signalée en 2016. On la rencontre dans les friches, jardins, parcs, bords des champs, prairies, lisières forestières ensoleillées, garrigues, éboulis, bords des rivières et des chemins, dunes. Elle atteint 1 900 m d’altitude. C’est une des espèces de Pentatomoidea les plus fréquentes. Sa couleur d'alarme alternée rouge et noire – dite aposématique – lui permet de se protéger des prédateurs en les avertissant ainsi de leur toxicité.

Roland Lupoli - 2019

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

Les données diffusées reflètent l’état d’avancement des connaissances partagées et disponibles dans le cadre de la mise en œuvre du SINP. Elles ne sauraient être considérées comme exhaustives. Ces données font l'objet d'un processus de validation. Les données considérées certaines ou probables sont diffusées, ainsi que celles pour lesquelles la méthode n'est pas applicable.

2 195

données

558

mailles 10x10km

1 023

communes

466

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Deux-sevres

(79)

23.8%

Vienne

(86)

21.4%

Haute-vienne

(87)

18.5%

Pyrenees-atlantiques

(64)

16.7%

Charente

(16)

12.9%

Charente-maritime

(17)

20.7%

Correze

(19)

20.8%

Creuse

(23)

10.9%

Dordogne

(24)

40.4%

Gironde

(33)

31.2%

Landes

(40)

16.2%

Lot-et-garonne

(47)

39.5%

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