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Punaise verte ponctuée

Punaise verte puante

Nezara viridula (Linnaeus, 1758)

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Hemiptera
  • Pentatomidae
4.0 | Joana PERRODIN

Espèce exotique

Répartition

Présence certaine
Indéterminée
Non concerné
Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v17.0)

  • Terrestre
  • Cryptogène

    Statuts régionaux

  • Introduite établie
  • Présence certaine
  • Non endémique

Répartition

Carte présence
Présence certaine
Indéterminée
Non concerné
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille : 11,5 – 18 mm
Diagnose :
Grande punaise entièrement verte. Partie membraneuse des ailes transparente. Elle a 3 petites taches blanches sur le bord antérieur du scutellum et 2 petits points noirs aux angles antéro-latéraux du scutellum. La variété
torquata a les parties antérieures du pronotum, de la tête et de l’exocorie couleur ivoire, contrastant avec le reste du corps vert.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle est facile à distinguer des autres punaises vertes car c’est la seule qui possède 3 petites taches blanches sur le bord antérieur du scutellum et 2 petits points noirs aux angles antéro-latéraux du scutellum.
Période d’observation : Mars à novembre avec un pic principal en septembre.
Biologie-éthologie :
Espèce très polyphage se nourrissant sur plus de 145 genres de 32 familles de plantes différentes. Elle est connue pour les dégâts qu’elle cause aux plantes maraîchères : tomates, haricots, pois chiches, choux-fleurs, radis. Les adultes rentrent dans les habitations pour hiberner, ils deviennent brunâtres ou rougeâtres en automne pour passer l’hiver, et retrouvent leur couleur verte au printemps après hibernation.
Biogéographie et écologie :
Seule espèce de Pentatomoidea à distribution cosmopolite, mais limitée aux régions les plus chaudes elle ne dépasse pas encore les 52° de latitude nord. Plutôt méridionale en Europe, elle continue à remonter au nord et à coloniser l’Europe centrale avec le réchauffement climatique. Elle s'est implantée en Grande-Bretagne depuis 2003. Dans les milieux ouverts, bien exposés, riches en plantes herbacées : prairies, cultures, friches, parcs, jardins, bord des chemins, garrigues, dunes, marais. C’est une espèce très commune. Elle est attirée par les lumières, surtout en été.

Roland Lupoli - 2019

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

Statuts espèce exotique

Reproduction

Avérée (Tendance : Indéterminée)

Raison(s) de l'introduction

Non évaluée

Impacts

Sur l'habitat

Destruction

Sur les espèces indigènes

Inconnu ou aucun

Autres

Origine : Afrique

Type d'introduction : Involontaire

Des mesures de gestion ont été engagées ? Non

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963

données

348

mailles 10x10km

549

communes

259

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Deux-sevres

(79)

9.4%

Vienne

(86)

11.3%

Haute-vienne

(87)

3.6%

Pyrenees-atlantiques

(64)

9.3%

Charente

(16)

9.3%

Charente-maritime

(17)

13%

Correze

(19)

7.9%

Creuse

(23)

0.8%

Dordogne

(24)

22.1%

Gironde

(33)

18.1%

Landes

(40)

8%

Lot-et-garonne

(47)

26.6%

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