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Arocatus roeselii (Schilling, 1829)

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Hemiptera
  • Lygaeidae
Cette fiche espèce est générée automatiquement sur la base d'au moins une donnée de l'espèce partagée dans le SINP. Cette espèce ne bénéficie donc d'aucune consolidation experte concernant les statuts régionaux.

Répartition

Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v18.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Non évalué
  • Non évalué

Répartition

Carte présence
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille :

6 – 7,2 mm
Diagnose :

Petite punaise allongée rouge et noire dont les yeux ne touchent pas le bord du pronotum. Cories rouges avec au centre de chacune une tache triangulaire noire. Tête pas plus longue que la distance entre les yeux. Bord de l’abdomen le plus souvent rouge.
Détermination :

Moyennement difficile.
Espèces proches :

Arocatus melanocephalus a la moitié postérieure des cories noires. Arocatus longiceps est une espèce proche plus méridionale, mais qui pourra être trouvée en France. Sa tête est plus allongée en étant plus longue que la distance entre les yeux.
Période d’observation :

Toute l’année, avec 3 pics, en février, juillet et octobre-novembre. Les observations d’automne et d’hiver correspondent à l’hivernation sous les écorces de platane.
Biologie-éthologie :

Elle vit surtout sur l’aulne glutineux (Betulaceae), et sur l’aulne blanc, et se développe aussi sur platane (Platanaceae), en piquant leurs fruits et bourgeons. Les adultes hivernent souvent en groupe, sous les écorces décollées des platanes ou dans la litière, les fissures des troncs, y pondent fin avril-mai, et la nouvelle génération d’adultes apparait début juillet.
Biogéographie et écologie :

Espèce ouest-paléarctique, présente depuis l’Espagne et le Maghreb jusqu’en Azerbaïdjan. Elle ne dépasse pas 55° de latitude nord en Allemagne et Pologne. Observée depuis peu en Grande-Bretagne à Londres sur des platanes. Il a été suggéré que Arocatus longiceps y aurait aussi été importée, rendant l’identification confuse d’autant que des études génétiques suggèrent des hybridations possibles. A. roeselii colonise les régions boisées humides et fraîches : forêts de feuillus peu denses, bords des rivières, haies, fourrés, et villes sur les platanes d’ornement.

Roland Lupoli - 2021

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

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14

données

10

mailles 10x10km

11

communes

9

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Deux-sevres

(79)

0.4%

Vienne

(86)

0.4%

Dordogne

(24)

0.4%

Gironde

(33)

1.1%

Landes

(40)

0.3%

Ce taxon ne dispose d'aucune photo.