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Érigone cul-noir

Ostearius melanopygius (O. Pickard-Cambridge, 1880)

  • Arthropoda
  • Arachnida
  • Araneae
  • Linyphiidae
4.0 | N. Henon

Espèce exotique

Répartition

Recensée
Non concerné
Les statuts de présence départementaux de cette espèce sont en cours
de construction.
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    Statuts nationaux (TAXREF v18.0)

  • Terrestre
  • Introduit établi ou possiblement établi

    Statuts régionaux

  • Introduite établie
  • Présence certaine
  • Non endémique

Répartition

Carte présence
Recensée
Non concerné
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Description (Source : INPN)

Distribution mondiale

Europe occidentale, cosmopolite

Caractères distinctifs, espèces

Taille - femelle : 2-3 mm, mâle : 2-3 mm.

Bien que les Linyphiidés soient difficiles à identifier, y compris en observant les pièces génitales, cette espèce peut se distinguer des autres à sa couleur. Les petites Linyphiidés (Erigoninés) sont presque toujours unicolores. Chez l’Erigone cul-noir, le céphalothorax et les chélicères sont brun foncé. Les chélicères du mâle sont armées d’une forte dent sur la face antérieure. Les pattes sont jaune-orangé. L’abdomen est rougeâtre avec l’extrémité noire. C’est la seule espèce du genre. Elle est cosmopolite, son origine géographique est contestée : certains la croient originaire de Nouvelle-Zélande, d’autres des Açores. Les premières mentions françaises dates de 1946. Elle est présente maintenant dans toute l’Europe occidentale mais ne semble pas encore arrivée en Russie.

Milieux colonisés

L’espèce est trouvée dans des milieux très différents : sur le littoral dans les laisses de mer, sur des sols avec des matières en décomposition, dans les zones d’épandage de déchets, sur les tas de fumier, dans des bâtiments d’élevage, …

Chasse

Cette espèce est commune parmi les migrantes aérostatiques. Elle peut pulluler à certains endroits, au point de créer une toile « collective » de très grande taille. Il semble que cette toile soit seulement due aux nombreux fils de sécurité dévidés par les très nombreux individus lors de leurs déplacements. Elle se nourrit d’acariens qui peuvent pulluler aussi localement, dans des zones comprenant de la matière organique en décomposition. Elle disparaît aussi mystérieusement qu’elle a proliféré.

Développement, cycle

Les adultes des deux sexes sont présents toute l’année, peut-être plus abondants en automne. Au moins dans les bâtiments, il peut y avoir deux cycles dans l’année. Elle tisse un cocon recouvert de soie blanche dont la taille est supérieure à la femelle.

A. Canard - Université de Rennes/Service du Patrimoine Naturel, MNHN - 2014

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

France

  • NA
    Non applicable

    Liste rouge des araignées de France métropolitaine - 2023

Statuts espèce exotique

Reproduction

Non avérée / Inconnue (Tendance : Indéterminée)

Raison(s) de l'introduction

Non évaluée

Impacts

Sur l'habitat

Inconnu ou aucun

Sur les espèces indigènes

Inconnu ou aucun

Autres

Origine : Amérique

Type d'introduction : Non évalué

Des mesures de gestion ont été engagées ? Non

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35

données

21

mailles 10x10km

29

communes

16

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Deux-sevres

(79)

4.7%

Haute-vienne

(87)

1%

Pyrenees-atlantiques

(64)

1.1%

Charente-maritime

(17)

0.2%

Correze

(19)

0.7%

Creuse

(23)

0.4%

Gironde

(33)

0.4%

Landes

(40)

0.6%

Lot-et-garonne

(47)

0.3%