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Grand hanneton forestier

Melolontha hippocastani Fabricius, 1801

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Coleoptera
  • Scarabaeidae
Cette fiche espèce est générée automatiquement sur la base d'au moins une donnée de l'espèce partagée dans le SINP. Cette espèce ne bénéficie donc d'aucune consolidation experte concernant les statuts régionaux.

Répartition

Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v18.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Non évalué
  • Non évalué

Répartition

Carte présence
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille :

22-27 mm.

Diagnose :

Tête et thorax brun-rouge à noir. Élytres, antennes et pattes bruns. Dessus recouvert d’un duvet de fins poils blancs, souvent caduques. Thorax avec dorsalement deux lignes latérales blanches bien tranchées, de poils plus denses et plus longs. Abdomen noir à rouge ventralement, avec pour chaque segment latéralement, un triangle de pubescence blanche. Dernier segment abdominal (pygidium) marron, prolongé par une expansion en pointe. Les antennes ont une massue formée par 7 feuillets, qui sont très longs chez le mâle. La larve est de type « ver blanc », le corps blanc, mou et allongé, la tête et les pattes sclérifiées (dures), jaune-orangé.

Facilité d’identification :
Pour spécialiste/délicat.

Espèces proches :

Melolontha melolontha (Linnaeus, 1758) (le Hanneton commun), au comportement moins forestier, dont les thorax et la tête sont franchement noirs, et la pointe terminale de l’abdomen est  plus longue et plus large. Melolontha pecoralis Megerle, 1812, présent en France uniquement dans le nord-est, en est également très proche, avec une pointe terminale encore plus courte.

Biologie-ethologie :

Les adultes ont une activité principalement crépusculaire, aux mois de mai et juin. Ils restent camouflés dans la végétation pendant la journée. Rhizophage, la larve effectue un cycle de à trois à quatre ans (suivant les régions et la rigueur de l’hiver), dans le sol, où elle mange diverses racines. Son comportement secondaire prédateur à cannibale provoque une génération plus abondante que les autres, créant tous les 3 à 4 ans ce que l’on appelle une « année à Hanneton ».

Biogéographie :

L’espèce est connue de presque toute la France métropolitaine, à l’exception du quart sud et de la Corse.

D'après: Baraud, J. 1992. Coléoptères Scarabaeoidea d’Europe. Société Linnéenne de Lyon. 873 pp.

A. Horellou - UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN) - 2015

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

Les données diffusées reflètent l’état d’avancement des connaissances partagées et disponibles dans le cadre de la mise en œuvre du SINP. Elles ne sauraient être considérées comme exhaustives. Ces données font l'objet d'un processus de validation. Les données considérées certaines ou probables sont diffusées, ainsi que celles pour lesquelles la méthode n'est pas applicable.

39

données

20

mailles 10x10km

27

communes

16

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Vienne

(86)

3%

Haute-vienne

(87)

0.5%

Pyrenees-atlantiques

(64)

0.7%

Charente

(16)

0.5%

Creuse

(23)

0.8%

Dordogne

(24)

0.2%

Gironde

(33)

1.5%

Lot-et-garonne

(47)

0.3%

Ce taxon ne dispose d'aucune photo.