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Aphodius fimetarius (Linnaeus, 1758)

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Coleoptera
  • Scarabaeidae
4.0 | B. Martha
Cette fiche espèce est générée automatiquement sur la base d'au moins une donnée de l'espèce partagée dans le SINP. Cette espèce ne bénéficie donc d'aucune consolidation experte concernant les statuts régionaux.

Répartition

Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v17.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Non évalué
  • Non évalué

Répartition

Carte présence
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille :
5-8 mm.
Diagnose :
Corps et pattes noirs, élytres et massue des antennes rouges, une tache rouge aux angles antérieurs du premier segment thoracique. Abdomen noir. Ecusson au large que long. Corps bombé sur le dessus. La larve est de type « ver blanc », le corps blanc, mou et allongé, la tête et les pattes sclérifiées (dures), jaune-orangé.

Facilité d’identification :
Pour spécialiste/difficile
Confusion possibles :
Plusieurs autres espèces du même genre ou de genres proches présentent des colorations similaires, particulièrement deux espèces à ventre rouge : Rhodaphodius foetens (Fabricius, 1837) et dans une moindre mesure Coprimorphus scrutator (Herbst, 1789). Une espèce jumelle a été récemment confirmée : Aphodius cardinalis Reitter, 1892, qui ne diffère d’Aphodius fimetarius (Linnaeus, 1758) que pas ses organes génitaux mâles.

Biologie/Éthologie :
Les adultes comme les larves sont coprophages, principalement dans les excréments des herbivores. Les adultes se nourrissent et se reproduisent à l’intérieur des bouses et des crottins, puis les femelles creusent des puis verticaux dans le sol directement sous les excréments, en y enfouissant un peu de matière fécale sur laquelle elle pond ses œufs. Les larves écloses s’en nourriront et se nymphoseront dans le sol. Les adultes sont capables de détecter la présence d’excréments à de très grandes distances, permettant aux jeunes émergents de rapidement s’alimenter.

Biogéographie :
L’espèce est connue de toute la France métropolitaine (Corse inclue), où elle est abondante. C’est une des espèces de bousier qui résiste le mieux aux traitements chimiques modernes de vermifugation administré au bétail.

D'après : Baraud, J. 1992. Faune de France : France et régions limitrophes. 78, Coléoptères Scarabaeoidea d'Europe. Fédération française des sociétés de sciences naturelles. Paris - Société linnéenne de Lyon. Lyon. 856 pp.

A. Horellou - UMS 2006 Patrimoine Naturel (AFB / CNRS / MNHN) - 2015

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

Les données diffusées reflètent l’état d’avancement des connaissances partagées et disponibles dans le cadre de la mise en œuvre du SINP. Elles ne sauraient être considérées comme exhaustives. Ces données font l'objet d'un processus de validation. Les données considérées certaines ou probables sont diffusées, ainsi que celles pour lesquelles la méthode n'est pas applicable.

182

données

51

mailles 10x10km

77

communes

30

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Deux-sevres

(79)

2%

Vienne

(86)

0.8%

Haute-vienne

(87)

5.1%

Pyrenees-atlantiques

(64)

2.9%

Charente

(16)

0.5%

Charente-maritime

(17)

0.9%

Correze

(19)

1.8%

Creuse

(23)

1.2%

Dordogne

(24)

1.6%

Gironde

(33)

2.4%

Landes

(40)

1.8%

Lot-et-garonne

(47)

0.9%

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