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Adomerus maculipes (Mulsant & Rey, 1852)

  • Arthropoda
  • Insecta
  • Hemiptera
  • Cydnidae
Cette fiche espèce est générée automatiquement sur la base d'au moins une donnée de l'espèce partagée dans le SINP. Cette espèce ne bénéficie donc d'aucune consolidation experte concernant les statuts régionaux.

Répartition

Légende complète et détaillée

    Statuts nationaux (TAXREF v18.0)

  • Terrestre
  • Indigène ou indéterminé

    Statuts régionaux

  • Non évalué
  • Non évalué

Répartition

Carte présence
Légende complète et détaillée

Description (Source : INPN)

Taille : 4,5 – 5,5 mm
Diagnose :
Petite punaise noire et allongée, presque rectangulaire, avec le thorax (pronotum) et l’abdomen (cories) bordés d’un bourrelet blanc. Elle n’a pas d’épines et/ou de soies sur les bords de la tête, les bords du pronotum et les ailes, et elle a des pattes épineuses (sous-famille des Sehirinae). Les membranes de ses hémélytres sont marron sombre.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce est très proche de
Canthophorus fuscipennis. On les distingue par la forme du corps, rectangulaire chez Canthophorus maculipes et arrondie chez C. fuscipennis ou l'échancrure du pronotum, plus profonde chez C. maculipes. Cependant seule l'observation des pièces génitales permet de trancher à coup sûr entre ces deux espèces.
Période d’observation : Avril à septembre avec un pic important en juin et un autre en aout.
Biologie-éthologie :
Canthophorus maculipes vit et se nourrit exclusivement sur la valériane rouge Centranthus ruber à fleurs roses ou rouges. Elle se trouve sur les plantes bien développées, en fleurs ou en fruits. Elle a donc la même distribution géographique naturelle que la valériane rouge. Cette plante est maintenant cultivée pour l’ornementation des jardins, même en dehors de son aire de distribution, ce qui va étendre la répartition de Canthophorus maculipes.

Biogéographie et écologie :
Espèce méditerranéo-atlantique, elle est présente sur sa plante-hôte en zones ensoleillées dans les éboulis calcaires, rochers, pierriers, vieux murs, garrigues, bords des routes et des chemins où poussent les valérianes rouges. C’est une espèce relativement commune si on la cherche sur sa plante-hôte au bon stade, surtout dans les régions méditerranéenne et atlantique.

Roland Lupoli - 2019

Liens externes

Fiche nationale

Statuts réglementaires

Aucune réglementation ou protection n'est à ce jour en place pour cette espèce.

Autres statuts

Aucun statut de reconnaissance n'est disponible pour cette espèce.

Statuts de menace

Cette espèce n'a été évaluée dans aucune liste rouge.

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10

données

8

mailles 10x10km

10

communes

7

jeux de données

Cartes disponibles

Année d'observation

Gérer la transparence

Nombre de données par mois

Nombre de données par an

Couverture communale

Pourcentage de communes où l'espèce a été observée, par département

Vienne

(86)

0.4%

Charente-maritime

(17)

0.2%

Correze

(19)

0.7%

Creuse

(23)

0.4%

Dordogne

(24)

0.2%

Gironde

(33)

0.2%

Lot-et-garonne

(47)

0.9%

Ce taxon ne dispose d'aucune photo.